En pleine rentrée il est important de prendre de bonnes habitudes.
Le Parisien m’a interrogé sur ce que je pensai de la fonction « Snooze »…
Article: La touche « SNOOZE » du réveil, synonyme de sursis sous la couette, de microroupillon avant la routine du matin, de prière implorant un laissez-moi encore cinq minutes avant de préparer le petit déjeuner, prendre ma douche, m’habiller… Bref, ce bouton qui active la fonction rappel de sonnerie du réveil, vous êtes nombreux à l’avoir retrouvé ce matin à l’heure H, signant bel et bien la fin des vacances et le retour au travail. Vous ne serez pas seul à appuyer frénétiquement dessus, puisque 64 % des Français ont l’habitude de le faire pour repousser le moment fatidique de la sortie du lit. Problème : la même proportion ne se sent pas plus reposée pour autant. C’est ce que dévoile l’étude* réalisée par Opinion Matters pour Withings, fabricant d’objets de santé connectés. D’après ces résultats, les Français cumulent près de quatre mois de leur vie à appuyer sur cette touche de leur réveille-matin, un temps pourtant consacré à mal dormir.
On se lève… tout de suite. Pas de petit rab. L’heure de la sonnerie, c’est l’heure du lever et on se fâche définitivement avec la touche « snooze ». « Il faut la bannir », lance, sans autre forme de procès, Sylvie Royant-Parola, médecin, psychiatre, spécialiste du sommeil. « Lorsque vous l’utilisez, vous restez dans un état de somnolence qui n’est pas du tout reposant. Du coup, vous vous levez lorsque vous n’avez plus le choix, ce qui est hyperstressant. Vous êtes mal. Un état qui dure pendant une bonne demi-heure. » Plus de huit Français sur dix vont plus loin et déclarent qu’un mauvais réveil peut ruiner toute leur journée, ce qui, pensent-ils, affecte leur moral (54 %), leur concentration (40 %) et leur bien-être (30 %). Pourquoi l’utiliser alors ? « Parce que je ne me réveille pas avec une seule sonnerie, je me rendors direct », témoigne Olivier.
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